En janvier 2012, un premier billet sur ce sujet. Je soumets
mes idées au vote et… c’est la fin du monde qui emporte les suffrages !
C’était une vraie chance car c’était bien la fin du monde que j’avais envie
d’écrire !
J’ai mentionné ce projet de roman à nouveau dans un billet
de juin 2012, intitulé rapport d’étape. Deux autres envies également étaient
évoqués : le défi littéraire de Jean-Claude Duponq, et le chêne
adolescent.
Enfin, en janvier de cette année, je vous ai confié le
projet d’écrire un recueil de sept nouvelles pour le concours de la revue
Harfang, en reprenant 6 nouvelles déjà écrites et qui ont besoin d’être
retravaillées, et en créant une septième.
Et bien me direz-vous, ou en somme-nous ? Ce bilan,
hum ?
La fin du monde s’est produite, publiée fin octobre 2012.
Ceux qui me suivent avec attention savent que son succès mitigé m’a un peu
découragée. Mais bien d’autres choses ont été faites !
- J’ai relevé le défi de Jean-Claude, un logorallye avec les
mots «arbre, cirque, dignité, espace, panser, pression, résorber». Le texte née de ce défi, intitulée Prédestination, a été publiée sur ce blog. Un petit échec au
passage : j’avais soumis cette nouvelle au concours de la revue Rue St
Ambroise, mais j’ai oublié le chèque de participation ! Vous avez dit acte
manqué ?
- Il y a eu aussi la nouvelle Manipulés, publiée sur ce blog
en janvier et février, puis sur le site www.welovewords.com
- Je viens de rédiger une nouvelle qui sera présentée au
concours de nouvelle de l’association « envie de vous lire » de Viroflay. Postée
ce soir, avec le chèque ! Je progresse…
- Le Chêne Adolescent, lui, est resté malade, on ne sait pas
s’il sera sauvé ou non. Je dois dire que finir seule une nouvelle écrite à six
ou sept m’enchante peu. Vous m’avez tant donné, Jean-Claude (encore
toi !), Alain, @lvir, @ilétaitunevoix, @asaouidi ! Je suis au regret de ne pouvoir vous le rendre au centuple...
- J’ai aussi écrit deux textes pour des vases communicants,
avec Jean-Claude et Wanatoctouillou.
- Quant aux sept nouvelles, je l’avoue bien volontiers, j’ai
laissé tomber. Il fallait une énergie pour cela que je n’ai pas vraiment
retrouvé. Je me suis sentie capable de travailler de petits projets, mais pas
un chantier d’envergure comme celui du concours d’Harfang.
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