mercredi 29 février 2012

les #lecteursducanal #2

En ce samedi glacial sur Paris, les #lecteursducanal (pour savoir ce que c’est, regarder ) ont décidé de ne pas se réunir au bord de l’eau, mais bien au chaud, au bar du Théâtre du Rond-Point. Deux habitués manquent à l’appel, quel dommage… Attablés avec qui un thé, qui un grog, nous rentrons dans le vif du sujet.

@Marsupilamima a les yeux qui pétillent, elle nous réserve un tour à sa façon… Elle a choisi de nous parler non d’un livre mais d’un auteur ! A l’occasion de la sortie de calligraphie des rêves chez Christian Bourgois, elle nous présente Juan Marsé. Fils d’un chauffeur de taxi et orphelin de mère, élevé par un couple adoptif, il a commencé à écrire vers l’âge de 20 ans. Son œuvre est inspirée par la Barcelone d’après Guerre Civile, dont il réalise une peinture sociale forte. Parmi ses romans, @Marsupilamima recommande Adieu la vie, adieu l’amour (titre très mal traduit de l’espagnol) et Un jour je reviendrai. J’ai lu ce dernier ainsi que des lézards dans le ravin, et j’aime beaucoup cet auteur, autant pour des raisons personnelles que littéraires. 

@Phildp, lui, a acheté une liseuse numérique ! Voilà bien un sujet qui fait débat. Pour lui l’expérience est positive : depuis qu’il en a une, il lit plus et plus vite. Au lieu des 3 à 4 livres sur le feu à la fois, il en a jusqu’à 12 ! J’avoue que j’en serai incapable…
Cependant le livre dont il a choisi de nous parler est un livre papier : Ti-Puss, d’Ella Maillart. Ecrivain et voyageuse, Ella Maillart a entrepris une traversée de l’Inde avec une chatte qui lui a été donnée. Cette expérience était une quête spirituelle, le livre est aussi le récit d’une rencontre avec cette chatte, dont on se sait pas bien si elle révèle l’auteur à elle-même, ou si l’auteur investit le chat de sa quête. @Phildp a choisi ce livre car il est « passionné de littérature féline » ! En dehors de @schaptal, personne ne savait que ça existait… Ils finissent par se livrer sous nos yeux ahuris à une partie de ping-pong endiablée, citant des tas de titres de romans de littérature féline… Dingue !

Du coup, c’est @schaptal qui prend la parole. Fan de science-fiction, elle nous surprend d’abord en nous parlant d’un polar… écrit par un auteur de SF ! China Mieville, auteur anglais issu d’une famille communiste, est lui-même engagé à l’extrême-gauche. The city and the city raconte une enquête au cœur d’une ville double, ou plutôt de deux villes imbriquées. Les habitants sont dressés à ne « voir » que celle à laquelle ils appartiennent. Hors le cadavre qui ouvre le polar aurait « franchi » la séparation… Dans ce livre kafkaïen, il n’y a pas de mur comme à Berlin, le mur est dans la tête des citoyens… Mystérieux, non ?

@Fleurdebitume va nous étonner aussi. Cette fois-ci, foin de livre historique, La maison Matchaiev, de Stanislas Wails aux ed Serge Safran se passe de nos jours. Trois jeunes adultes, deux frères et une sœur, perdent leur père qui se suicide en leur laissant une maison dans la Nièvre. Que faire de cette maison et de son contenu ? Cette question interpelle celle de leur identité, de l’héritage d’un père russe, de l’histoire et de l’Histoire. Dans ce livre on retrouve du Perec, du Henry James, belles références ! Au-delà de la qualité littéraire, notre ami y trouve des résonances avec son histoire personnelle, liée à une maison en Bourgogne.


Pressée car elle va assister à un spectacle avec @Marsupilamima, @Hippo20 demande la parole. Elle tient à nous parler de Décharges, de Virginie Lou-Nony, aux Ed Actes Sud. Plutôt qu’un long compte-rendu de la looonnnggguuue intervention, voici un lien qu’elle nous a proposé et qui cadre bien avec son avis : http://www.lacauselitteraire.fr/decharges-virginie-lou-nony.html

Et bien c’est mon tour ! @aubonroman a décidé de faire la promotion de Charles Juliet, merveilleux écrivain découvert tardivement, grâce à une soirée Paroles d’Encre. Juliet est un auteur modeste, qui s’est colleté longtemps à l’écriture avant d’ « arriver » à écrire. L’année de l’éveil, partiellement autobiographique, raconte le parcours d’un adolescent enfant de troupe. La dureté de la vie en caserne, la boxe, le rugby, la solitude, l’intérêt que lui porte son chef de section, la découverte de la sensualité avec la femme de celui-ci… Tout dans ce roman est touchant, vibrant, humain. @Fleurdebitume, qui apprécie cet auteur, m’apprend qu’un film a été tiré de ce roman…

Ça y est, cette séance est finie… A quand la prochaine ?

samedi 25 février 2012

Extraits#2: Richard Bohringer

Les personnages de Richard Bohringer essaient d’écrire :

« Paulo était un écrivain qui disait que dès que les mots étaient écrits, ils ne valaient plus rien sur terre. Ils devenaient célestes, une danse païenne qui dirait tout, qui dirait rien. Les mots saignent en silence à certaines heures de la nuit. Un silence hurlant. Écrivain. Il aurait voulu trouver un mot plus modeste. Éructeur, il aimait bien.
En fait il était conteur, il écrivait avec sa voix. Le son des mots. Il était sculpteur de phrases. »

« (..) John n’avait pas dormi de la nuit.
Il avait beaucoup écrit. Il ne resterait certainement pas grand-chose, un fois les corrections faites. Il lui fallait beaucoup de mots, beaucoup de matière, disait-il, pour se transformer en sculpteur de phrases. Il aimait ce moment-là de l’écriture. Sois simple, sois simple surtout, marmonnait-il. Sauve-toi. Sauve ton écriture ».

In : Les nouveaux contes de la cité perdue, Ed. Flammarion

vendredi 17 février 2012

A l'encre bleu nuit soutient F. Bon et Publie.net

Ce billet n'est pas du tout celui que j'avais prévu ce soir. Mais j'apprends, comme beaucoup, en lisant twitter, que les éditions Publie.net ont reçu des éditions Gallimard une lettre demandant le retrait d'une publication: celle de Le vieil homme et la mer, dans une traduction de ... François Bon ! Eux qui publient une traduction vieillotte attaquent au titre de contrefaçon, ce qui semble un argument juridique léger.

Cette nouvelle a déclenché de nombreuses réactions de soutien auxquelles je voudrais m'associer. Suivez donc ces liens et ceux qu'ils proposent pour essayer d'en savoir plus, de vous faire votre propre opinion.

http://cananmarasligil.com/2012/02/17/soutien-a-francois-bon-et-a-publie-net/
http://www.tierslivre.net/spip/spip.php?article2788

et la réaction de mon copain g@rp : http://lasuitesouspeu.net/?p=639

Valérie

mercredi 15 février 2012

Chêne adolescent #4

le Chêne adolescent, fragment de texte que je vous ai proposé, continue sa route. 

rappel du début du texte


Désormais, les deux chênes, unis dans la déchéance de leurs êtres, devinrent les symboles d'une France en crise. Le défilé incessant des candidats souillait la nature encore fraiche à leurs racines.
Les plus véhéments à haranguer les citoyens au pied des deux grands malades étaient les écologistes, armés d'un bataillon de photographes, d'équipes de tournage, de maquilleurs, sans compter les redoutables attachés en communication, piétinant les herbes, rabrouant les mousses, écrasant les bois morts, afin de rendre l'endroit praticable pour l'éminence du parti.
Sentant soudain l'électorat sensible à la cause, la droite se fit forte de redorer son blason en décrétant que l'éradication de la phytophthora ramorum deviendrait une priorité nationale suite à l'élection, et que plus que jamais le chêne représentait l’emblème du mouvement.
La gauche voyait dans ce tableau l'allégorie du faible contre le fort, la lutte des classes, le combat ouvrier, et calomniait à mots couverts le candidat de droite en le comparant au chêne adolescent. Elle susurrait que, tout comme lui,  le jeune chêne  n’avait survécu jusque-là que grâce à la protection du vieux, et qu’à présent, ce roquet s’emparait de sa sève pour subsister.
Devant les bassesses des petits hommes, les deux chênes, qui en avaient vu d’autres, sentaient la pourriture les étreindre et  le changement se profiler. Bientôt, leur vigoureux  houppier d’antan ne serait plus qu’un tronc écourté et colonisé par des mousses et insectes. (à suivre...)
Cette partie a été écrite par Elvire, @lvir sur Twitter. Elle laisse volontiers le flambeau à qui voudra... 

mardi 14 février 2012

Tag Abécédaire

Bonjour, Tulisquoi m’a taggée, me voici invitée à vous résumer mon année 2011 à l’aide des lettres de l’alphabet. Pour ceux qui me connaissent un peu, ils savent que cette année a été difficile pour moi. Je risque donc de ne pas être très drôle, mais jouons le jeu !

A comme Amitié – Face à une solitude non choisie, on a besoin d’amis. J’en ai rencontré IRL, et aussi parmi quelques Twiterriens précieux. Qu’ils soient tous remerciés !

B comme Babelio – Devenue membre cette année, j’ai publié quelques critiques. Si je ne suis pas une membre très active, j’aime bien.

C comme Chaussures Italiennes – Le très beau roman d’Henning Mankell, qui m’a marquée.

D comme Divorce – Bon.

E comme Echecs – Des textes que je n’ai pas réussi à publier. Ce qui est bien, c’est qu’on apprend de ses échecs !

F comme Futur – Misons sur 2012 pour être meilleure que 2011 !

G comme – je passe mon tour.

H comme Herman Hesse – Narcisse et Goldmund est un très beau roman initiatique, un apprentissage vers la beauté.

I comme Imagination – On me dit que j’en ai beaucoup… Une chance pour quelqu’un qui essaie d’écrire !

J comme Jambe droite. Une sacrée tendinite s’y est installée. J’ai du renoncer à une randonnée à cause d’elle, ainsi qu’à des cours de danse. Il  n’est jamais facile de renoncer.

K comme Kiné – cf lettre J …

L comme Livres, Lectures – Encore et toujours.

M comme Marche, randonnée – Une activité que j’aime, qui vide la tête et avec laquelle j’ai renoué cette année.

N comme Nouvelles – J’en ai publié deux en 2011. Ce n’est pas une grosse production, mais elles ont eu un joli succès sur WeLoveWords

O comme Olafsdottir – j’ai longtemps tardé à lire Rosa Candida. Je me suis décidée sous l’amicale pression de quelques Twiterriens, je n’ai pas regretté !

P comme projets – Au plan littéraire j’en avais plein. Je n’en n’ai démarré aucun, voir mon article « tout savoir sur mes projets d’écriture ». Mais j’ai décidé par lequel je commence en 2012, et je m’y suis mise, tous les espoirs sont permis !

Q comme Quand – Eternelle question, sorte d’auberge espagnole ou chacun peut mettre ce qu’il veut derrière.

R comme Roman – 2011 a vu la naissance de mon premier roman. Bon, mini-roman, et pas publié, mais ça compte tout de même

S comme Stylo-plume – Celui que je me suis offert pour mon anniversaire, en vue de dédicaces éventuelles…  
T comme Tablette numérique – La mienne, une Sony Pocket Reader. Plaisir de lecture intact, et si pratique en voyage !

U comme USAP – L’équipe de rugby de Perpignan. Je me suis inscrite au club de supporters cette année : La Penya, comme on dit, de Paris. J’y ai rencontré des gens accueillants et chaleureux, j’en avais besoin.

V comme Voix – Une amie m’a conseillé, dans l’écriture, d’écouter ma voix. Très jolie expression, et conseil à suivre !

W comme West Coast Swing – la danse que j’appends depuis la rentrée, danse plutôt marchée et en couple, c’est très joli mais voir lettre J !

X comme XV – Le nombre idéal. En vrai, c’est juste parce que cette lettre ne m’inspire pas grand chose…

Y comme – je sèche.

Z comme Zola – depuis plusieurs années, je mène le projet de relire tous les Rougon-Macquart dans l’ordre. J’en suis à Pot-Bouille.

Nous voici donc au bout de l'exercice, un peu difficile !  A mon tour de transmettre le témoin, à qui? Je proposerais bien à G@rp,mais il est si occupé... Tu en dis quoi, l'escargot avec sa maison sur le dos ?

samedi 11 février 2012

Extraits #1 : Paul Auster

Paul Auster nous parle d’écriture et d’humanité :

« Aujourd’hui j’ai trainé dans la maison, sans but, déprimé, j’avais l’impression de perdre contact avec ce que j’écrivais, et je suis tombé par hasard sur ces mots dans un lettre de Van Gogh : "je ressens comme n’importe qui le besoin d’une famille et d’amis, d’affection et de rapports amicaux. Je ne suis pas fait de pierre ou de métal, comme une fontaine ou un réverbère."
C’est peut-être là ce qui compte réellement : parvenir au plus profond du cœur humain, en dépit des apparences. »

« Tout livre est l’image d’une solitude. C’est un objet tangible, qu’on ramasser, déposer, ouvrir et fermer, et les mots qui le composent représentent plusieurs mois, sinon plusieurs années de la solitude d’un homme, de sort qu’à chaque mot lu dans un livre, on peut se dire confronté à cette solitude. Un homme écrit, assis seul dans une chambre. Que le livre parle de solitude ou de camaraderie, il est nécessairement un produit de la solitude. »

in : L’invention de la solitude, coll Babel chez Actes Sud.

lundi 6 février 2012

J'ai choisi mon projet !

Rappelez-vous, je vous ai consultés sur mes projets d'écriture (rappel de l’article ci-dessous)

Il est l’heure de faire le bilan des votes : 1 pour l’Arboretum, 2 pour la fin du monde, 3 pour les plaques de rues. Mais j’ai bien dit que la décision m’appartient, non ? Et il y a un détail de calendrier important : la fin du monde est prévue pour décembre. Donc la logique veut de m’attaquer à mon deuxième mini-roman pour publier avant date fatidique, après le bouquin n’a plus d’intérêt… Et celle qui a pensé à se détail se reconnaîtra !

Bon, maintenant que j’ai annoncé mes intentions, il va falloir que je sois à la hauteur de mes engagements… C’est un peu comme me mettre un coup de pied au cul au moral, et enfin recommencer à écrire sérieusement !

Allez hop, un petit thé et c’est parti !

Ouh là là ! J’ai trop de projets, je ne sais pas par lequel commencer. Récapitulons.

ü L’Arboretum Imaginaire. C’est un recueil de nouvelles autour des arbres, traités comme des personnages à part entière du texte. La première partie a été fugitivement publiée en numérique. La deuxième partie reste à l’état de brouillon. Elaboré, mais pas achevé. Il faut encore du polissage, pour lequel j’ai été bien conseillée… C’est donc à moi de jouer !

üHistoires de fin du monde. Le mini-roman qui raconte une vision de la l’hypothétique fin du monde du 21.12.2012 s’ennuie tout seul dans son tiroir numérique. Le synopsis d’une deuxième vision de cette prétendue catastrophe attend que je prenne ma plume et mon encre bleu nuit pour l’écrire et faire avec ces deux textes un vrai livre.

üAu hasard de voyages et de randonnées, j’ai photographié des plaques de rues aux noms étranges, porteurs d’inspirations. Six ou sept photos sont soigneusement rangées dans un dossier de mon ordinateur, un début d’idée les reliant, avec habileté j’espère, est griffonné sur des feuilles.

Et je ne sais pas par où commencer ! Je suis bien ennuyée…J’écouterais bien volontiers vos conseils et avis, sachant qu’à la fin, la décision m’appartient J

vendredi 3 février 2012

Etrange Absence

Ce matin elle n’est pas là. En partant au travail, j’ai l’habitude de la voir, sortant de son bain. Après s’être séchée, la serviette tombée à ses pieds, elle porte délicatement ses mains à son visage. Son geste souligne une grâce tout simple, sans affectation. La courbe pleine de ses hanches, même si elle est mince, le galbe de ses seins jeunes et fermes évoquent une sensualité tendre, présente sans être dévorante. Le léger sourire sur ses les lèvres me dit chaque jour si elle est heureuse ou mélancolique.
Mais dans le petit jour pâle, pas moyen de la voir. Exceptionnellement en retard, je me presse, jetant des regards rapides autour de moi, déçu de ne pas apercevoir sa silhouette familière. Cela n’est jamais arrivé.
Et ça m’ennuie ! Aujourd’hui il y a un « pot » au bureau, on va encore me demander ou en sont mes amours… Parmi les caricatures que chacun faut de ses collègues, je suis le « célibataire endurci ». Parler de cette ravissante jeune femme aurait amélioré ma cote. Si elle est partie, je prends un risque à l’évoquer… Tant pis, il va falloir commencer par mener une enquête, et garder le silence.
C’est ainsi que je me retrouve arpentant le trottoir à la nuit tombante, guettant un mouvement, un signe de présence. Avisant un passant je lui demande « Savez-vous ou se trouve la jeune femme qui est là d’habitude ? » Il me regarde d’un air interloqué et s’échappe.
Dès le lendemain, une surveillance étroite en inquiète s’organise. Au risque d’arriver en retard au bureau, et de désorganiser ma vie, je suis sur les lieux un peu plus tôt, et même beaucoup plus, et m’attarde longtemps. Mais c’est immanquablement pour constater l’absence. Parfois je tremble de déception, ou alors les larmes me montent aux yeux. Où est passée ma nymphe gracile et mystérieuse ?

- T’as vu, il est encore là le mec.
- Ah ! Le vieux beau tiré à quatre épingles ?
- Oui, et il regarde toujours vers le même socle. L’a l’air complètement paumé.
- Bizarre…
- Pauvre gars ! Suffit de lire le panneau pour voir qu’elle a été démontée pour nettoyage, la statue !

                                                                    Aristide Maillol

mercredi 1 février 2012

les #lecteursducanal

C'est quoi cette drôle de bête ? Très simple: un groupe d'amateurs de livres qui s'est constitué sur Twitter. Il y a des gens qui écrivent, d'autres qui ont fait leur carrière au milieu des livres, et enfin des amateurs éclairés.
Nous nous réunissons de temps à autre, chacun vient avec un ou deux livres qu'il a particulièrement aimé, pour le présenter aux autres, et éventuellement les motiver à le lire ! Premier rendez-vous: en mai dans un parc du 20ème arrondissement. Deuxième rendez-vous: en octobre au bord du bassin de la Villette rebaptisé canal, d'où est venu le nom de notre groupe.
Troisième rendez-vous ? Samedi ! Mes amis lecteurs étant d'accord, je vous ferai un petit compte-rendu ici même...

Les livres cités en mai 2011 :
Athanorster : « Trésors à prendre » de Violette Leduc
Marsupilamima : « Vies potentielles » de Camille de Toledo
Phildp : « Hyperion » de Dan Simmons
Schaptal : « La nuit des enfants rois » de Bernard Lenteric
Fleurdebitume : « Les étoiles de Compostelle » de Henri Vincenot
Hippo20 : « La mort de Tusitala » de N. Atsushi, « battements d’ailes » de Milena Agus, « Zola Jackson » de Gilles Leroy.
Christogrossi : « portraits de femme magnifiques » de Christophe Fourvel
Aubonroman : « Les soldats de Salamine » de Javier cercas

Les livres cités en octobre 2011 :
Athanorser : « Rue de la peau » de Neil Bartlett
Hippo20 : « Franck » de Anne Savelli (Athanorster)
Marsupilamima : « Plus léger que l’air » de Federico Jeanmaire
Arnaud1369 : « L’élégance du Hérisson » de Muriel Barbery
Schaptal : « Dune » de Franck Herbert
Fleurdebitume : « fantomas » de Souvestre et Allain
Aubonroman : « Marcher, une philosophie » de Frédéric Gros et « la tombe du tisserand » de Seamus O’kelly